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vendredi 7 novembre 2008

Mmmmm



Down in Albion they're black and blue...

jeudi 15 mai 2008

Les Enfants du Bitume

Les enfants du bitume, 2001 Documentaire de Edet Belzberg pour la chaîne Arte sur les enfants du métro de Bucarest.

La caméra a suivi pendant de nombreux mois un groupe d'une demi-douzaine de garçons et filles qui ont élu domicile dans une gare souterraine du métro de la capitale de la Roumanie.

Images particulièrement dures sur le désespoir et le délabrement physique de ces enfants : on les voit, entre autres, se "défoncer" en respirant, le nez plongé dans un sac de plastique, les vapeurs d'une laque liquide "Aurolac", ce qui leur laisse le bas du visage constellé de petits points de couleurs et les yeux vitreux, stigmates d'un abrutissement qui risque de devenir de moins en moins réversible. Un gamin d'une douzaine d'années, au beau visage apparemment serein, laisse s'extérioriser sa souffrance en se tailladant l'avant-bras avec un caillou tranchant à la suite d'une contrariété qui paraît bien frivole…

Les garçons ont de 8 à 14 ans. Leur chef est une fille de 16 ans (dont 5 dans la rue), au costume androgyne, qui exerce son autorité de façon plutôt maternelle, mais sans hésiter à recourir aux coups de bâtons dans certains cas, en particulier envers une autre jeune fille dans un état pitoyable car elle se démolit rapidement à l'Aurolac. On les voit mendier, voler porter des paquets, rendre divers services aux commerçants de la gare, et aussi jouer, rire, sniffer, se battre, dormir sur des cartons dans les corridors déserts la nuit. Ils proviennent de familles gravement alcooliques ou d'orphelinats où ils étaient trop maltraités. La caméra les suit dans des efforts de réinsertion familiale, qui paraissaient d'abord possibles, mais qui échouent, puis dans des institutions où cela semble mieux réussir. A la question du cinéaste : "Qu'est-ce que tu aimes le plus dans la rue ?", la réponse de l'un des enfants est celle de tous les gamins de la rue du monde : "La liberté !" Celle-ci est réelle, mais combien cher payée…















samedi 26 avril 2008

Pacifisme



Par DLKToi

La Révolution tranquille,
Le 25 Avril 1974, au Portugal, la Radio diffuse cette chanson de José Afonso. C'est le signal de départ de la Révolution dite «des Oeillets».
L'espace d'une nuit, une révolution pacifique fut menée par les forces militaires et fit tomber la dictature en place. Le pouvoir se rendit presque sans résistance, s'apercevant bien vite qu'il n'avait aucune chance, et qu'il s'était laissé dépasser par les événements.
Le 25 avril au matin, le soleil sur le Portugal était particulièrement radieux.
Il n'avait plus la même couleur, car teinté de liberté, cette liberté qui coulait soudain à flots dans les larmes de joie, et jaillissait à nouveau comme l'eau d'une fontaine abreuvant d'espoir tout un peuple jusque là opprimé.
Les portugais, tous les portugais, se sont joints aux forces armées avec une ferveur indescriptible. On dansait, on jubilait, on criait autant que l'on pouvait le mot interdit jusqu'alors... le mot "Liberté", partout dans les rues.
Après quelques mois de turbulences, le pays va pouvoir reprendre sa place parmi les démocraties européennes.

lundi 3 mars 2008

Bruno de Stabenrath - Les destins brisés du Rock 2


Citation Evène : "Acteur - pour François Truffaut et Ettore Scola notamment - musicien - chanteur du groupe Borsalino - et scènariste - pour les série cultes Marc et Sophie et Un gars, une fille - Bruno de Stabenrath multiplie les expériences. Le 17 mars 1996, un accident de voiture bouleversesa vie. De ce drame naît Cavalcade et sa nouvelle vocation de romancier."

Citation Wiki : "Son roman autobiographique Cavalcade a été porté à l'écran avec Titoff dans le rôle principal. Il débute à l'écran sous le nom de Bruno Staab dans L'Argent de poche de François Truffaut. Il poursuit sa carrière d'acteur sous le pseudonyme de Bruno du Louvat et on le voit dans quelques films comme L'Hôtel de la plage où il campe l'un des jeunes adolescents auprès de Bruno Guillain et Sophie Barjac, ou Mesrine avec Nicolas Silberg."

Citation : "Attention… plus de morts ! Après la bible sanglante des Destins brisés du rock, j’ai voulu compléter la liste macabre des stars tombées au chant d’honneur. Maladies, armes à feu, assassinats, overdoses, accidents, suicides…
De 17 à 50 ans, les rockers ne font pas de vieux os."

Citation Sefronia : "Humain soumis aux mêmes règles, le rocker moyen meurt de manière très ordinaire sur la route, dans les airs, de trous dans l'estomac ou de palpitant qui jette l'éponge. Tout au plus concède-t-il aux statistiques un nombre plus élevé d'overdoses d'héro, de règlements de compte après minuit ou de suspensions au plafond via une corde... Mais en revanche, contrairement au Texan moyen, pas un n'a fini sur les chaises électriques de Bush...
"Les destins brisés du rock 2" (230 morts entre 1953 et 2006 tout de même), version actualisée du volume 1, n'aurait qu'un intérêt éditorial limité s'il se limitait à l'aspect morbide de son sujet. Un premier survol rapide de l'ouvrage (et le bandeau de l'éditeur) suscitent d'ailleurs une réticence, avec un côté parfois "trash reality à la Taschen" (les bouquins de photos de cadavres dans les accidents de la route), en étalant tous ces clichés de crashes, de la Porsche de James Dean ("avant" et "après") aux diverses épaves d'avion (Cochran, Holly, Lynyrd Skynyrd...), et atteint même un voyeurisme nauséeux avec le cadavre d'Otis Redding, hissé de la mer la corde au cou tel un pendu.
Mais à la lecture, l'auteur se sort du piège glissant de son thème par des biographies bien faites et documentés, sur les histoires et les carrières, honorant nombre de gens peu connus, des musiciens comme des compositeurs/arrangeurs."

Citation Gonzai : "Bruno de Stabenrath, avec ce Destins brisés tome 2, enfonce le clou dans le cercueil. Pas de la grande littérature, peu de blah-blah, des photos et des actes (de décès) sur près de 200 pages et une préface de Dick. Peut-être notre seul rocker français, au sens noble du terme. Enfin, il est encore vivant. Pas encore tombé dans la mythologie. Qu’on se rassure, les coffrets Long-box doivent déjà être prêts.

Bruno de Stabenrath

Ce n’est pas un hasard si Destins brisés titre en couverture un «Plus de morts» vengeur et définitif. Un rocker mort est un mythe, un rocker vivant un miraculé. Voire, dans certains cas, un artiste qui a perdu la bataille (Jimmy Page, Mc Cartney, Elton John, Manzarek). A se demander si les sixties auraient été si belles sans tous ces morts. Du premier, du plus mythique, James Dean et sa mort fulgurante, à Brian Jones et son pull marine au fond de la piscine.Un étrange parfum envahit le lecteur au fil des pages qui se tournent. L’œil admirant les faciès gravés dans le marbre, morts trop tôt, dont le regard ne vieillira jamais. Un instant shoot black & white qui fascine autant qu’il révulse. La mort, cette belle inconnue, est bien la principale héroïne de Destins brisés. Un soap-opéra où tous les acteurs tomberaient un à un jusqu’à ce qu’il ne reste que le larsen de la guitare comme seule bande-son. Travelling sur le cimetière, cut au noir.

Otis lost in the sea
{Otis Redding}

Cocasses, les morts sont diverses. Les rockers, figés dans leurs nécrologies, n’ont plus leur mot à dire sur leur fin. Des morts illustres dans la position du suicidé noble (Cobain, Ian Curtis, Elliott Smith…) aux peu glorieuses (Mort dans leurs vomis, Hendrix, Bon Scott, Bonham) en passant par les plus ridicules, l’électrocution. La mort parfaite pour le chanteur électrique. De Leslie Harvey (Stone the crows), court-circuité en branchant sa guitare, à Keith Relf des Yardbirds."

Auteur : Bruno de Stabenrath
Éditeur : Scali
Édition : 25 octobre 2007
ISBN : 978-2-350-12179-6

mercredi 27 février 2008

[Dossier] DICTIONNAIRE des DESTINS BRISES DU ROCK de Bruno de Stabenrath

DE L'AUTRE COTE par Francis ZEGUT

A force de mettre deux roues dans l'herbe, certains finissent dans le fossé de la connerie. D'autres vont au Salon de l'agriculture à 6 heures du matin pour voir chier les bêtes.
Bon Scott, le routier rocker d'AC/DC, a été étouffé par son vomi sur la banquette arrière d'un taxi en février 1980, quelques jours après avoir jammé avec Bernie de Trust, sur Ride on, au Scorpio Studio de Londres. Michael Hutchence, le chanteur d'INXS, fait, durant des nuits sans fin, un stage de formation "master alambic" au Bus Palladium. A l'aube, il saute de voiture en voiture, rue Fontaine à Paris, enroulé dans une cape noire. Il finit quelques années plus tard pendu derrière la porte d'une jouissance inavouable.
Une corde aussi pour Ian Curtis, de Joy Division. Une bouteille de trop pour Rory Gallagher. Un sapin au milieu d'une piste pour Sonny Bono, de Sonny & Cher. Un gun pour Kurt Cobain et Marvin Gaye. Le mississippi pour Jeff Buckley.
Las Vegas, les putes et la coke pour John Entwistle, des Who. Un avion pour Otis Reddeing. Une baignoire pour Jim Morrison. Un crabe pour Frank Zappa. Cela en fait du monde de l'autre côté. Mais le cador en la matière est sans conteste possible Robet Johnson. Le gars pose les bases du blues, autrement dit du rock and roll. On le retrouve raide le 16 août 1938 dans une rue de Greenwood, aux Etats-Unis. Il n'a que 26 ans. Pas de toubib pour authentifier les causes du décès. Trois hypothèses rôdent, la syphilis, le coup de couteau ou l'empoisonnement. Rien que ça. On n'a jamais su. T'es vraiment trop fort...

Ils avaient le ventre creux. Les yeux qui sentaient le cul. La musette chargée. Le nez qui démangeait. Les veines au grand jour. Ils roulaient plein pot sans casque. Ils faisaient l'amour sur les bandes d'arrêt d'urgence. Ils enfilaient la vie. Ils pissaient contre les bars de l'immortalité. Ils avaient dans leur vie des trous qui les ont engloutis. Ils ont fait court, mais la poignée au taquet.

C'est drôlement bon de les revoir, là, couchés, glacés, et éternels.

D'ailleurs j'ai eu Hendrix au téléphone tout à l'heure, c'est dingue, depuis qu'il est mort il raconte que des conneries. Il fume des endives et n'arrête pas de répéter que biner c'est un peu fourrer son jardin...



ILS AVAIENT 20 ANS ET DES POUSSIERES

Souvenez-vous de leurs voix. Ils avaient 17 ans, 24 ans, 32 ans.
Ils sont morts jeunes. Crashes d'avions, accidents de voitures, overdoses, empoisonnements, bastons, défenestrations, fusillades, suicides, roulettes russes, hémorragies cérébrales. Le rock and roll est un vampire imprévisible et plein d'imagination. Quand il brise un destin, il veut de la fureur, du sang et des larmes. Mais, surtout, il veut tripler ses ventes et transformer le vinyle en platine, et la postérité en jackpot.
"Meurs jeune et tu auras un beau cercueil." Voilà ces destins brisés, souvent récupérés, merchandisés, compilés... la sacro-sainte règle du métier étant : The show must go on !
Alors, le spectacle continue.
Souvenez-vous de ces visages. Imprégnez-vous de leurs traits, retrouvez leurs musiques ou, mieux encore, découvrez-les. Faites chauffer les platines. Allez fouiller dans les caves de vos grands frères. Ecoutez leurs histoires.
Ils avaient 20 ans et des poussières; un avenir de météore tracé devant eux. La vie en a décidé autrement.


B. de S.



5 JUILLET 1954 : LA NAISSANCE D'UN MYTHE

Le rock and roll trace son premier sillon fertile au cours d'une journée torride, quelque part dans le Sud profond, le 5 juillet 1954, dans le Studio Sun à Memphis, au Tennessee, dirigé par le producteur et agent, Sam Philips, quand un jeune Blanc gominé de 19 ans, Elvis Presley, enregistre une vieille chanson d'Arthur Big Boy Crudup datant de 1943, "That's all right Mama". Sur un tempo binaire Rockabilly, avec Scotty Moore à la guitare et Bill Black à la contrebasse, l'Amérique, le terre promise, découvre la voix chaude, lancinante et syncopée d'un inconnu nommé Presley. Plébiscité par les disc-jockeys, dont Bob Neal et Alan Freed, qui, déjà en 1951, animait la première émission radio The Moon Dog Rock and roll House Party, le titre d'Elvis envahit les ondes et grignote les territoires du rhythm and blues, du boogie-woogie et du Doo-Wop, jusqu'ici réservé aux artistes noirs : Fats Domino, Ray Charles, Little Richard, Big Joe Turner, les Moonglows, Jimmy Reed, Bo Diddley, Muddy Waters, Chuck Berry... Ce sont eux, les précurseurs, les mèches de dynamite, mais l'Amérique puritaine, conservatrice et raciste, les cantonne aux dancings de la Nouvelle-Orléans, aux honky-tonks du Mississippi ou aux clubs de Harlem.
Le rock avec ses prêcheurs turbulents n'est pas vraiment en odeur de sainteté et ses heures semblent comptées. On lui préfère les big bands de Sinatra, la gentille country, les voix sirupeuses de Pat Boone, Ricky Nelson ou de Tommy Steele. Taxées de musique obscène et lascive par les masses bien-pensantes, les pouvoirs politiques et les industriels du disque, les chansons d'Elvis se font censurer par les programmateurs radios, car ces idiots pensent que Presley est noir ! Il faudra attendre le 9 septembre 1956 et son apparition à a télévision avec "Don't Be Cruel", au Ed Sullivan Show
(cinquante millions de spectateurs), pour inverser la vapeur et rallier le Nord avec le Sud, où Elvis le Pelvis qui enchaîne les tournées, cartonne depuis longtemps en concert dans les Etats sudistes. Sa bonne bouille, ses déhanchements et ses cils charbonneux, sans vraiment rassurer les parents, déclenchent l'hystérie des jeunes filles et l'adhésion des ados. Hollywood et la Paramount lui font des ponts d'or; il tourne Love me Tender, le colonel Parker devient son manager et le poulain sauvage ne le restera plus très longtemps. En attendant derrière lui, s'engouffre le fameux cru rock 1955 : Eddy Cochran, Buddy Holly, Roy Orbison, Johnny Cash, Gene Vincent, Carl Perkins, Jerry Lee Lewis, Bill Haley...
Quand le titre "Rock Around the Clock" interprété par Bill Haley et ses Comets débarque en France en octobre 1955, sur le label des disques Decca, il est le deuxième 45-tours de Bill, puisque "Shake Rattle and Roll", est sorti- un an plus tôt - chez les disquaires parisiens ! Enregistré le 14 avril 1954, "Shake Rattle and Roll" est donc LE premier rock de l'histoire dans les hit-parades français et européens.
L'année 1956, En France, voit aussi un trio : Boris Vian, Michel Legrand et un chanteur farfelu, Henry Cording (Henri Salvador) et ses Calypso Boys, composer des parodies de chansons rock (Rock Hoquet, Rock and Roll Mops...). Avec eux, un jeune prodige américain, élève de Nadia Boulanger, signe les arrangements, Quincy Jones, futur producteur arrangeur de Sinatra, Georges Benson et Michael Jackson.
En 1958, Danyel Gérard et Richard Anthony sont les premiers à se lancer dans l'adaptation sincère de succès rock américain : Peggy Sue, de Buddy Holly, et Three Cool Cats, des Coasters (qui devient Nouvelle Vague). Au début de l'année 1960, avec le tremplin du Golf-Drouot et l'émission de radio sur Europe 1 Salut les Copains, de Franck Ténot et Daniel Filipacchi, deux lionceaux, Johnny Hallyday avec "Souvenirs Souvenir" et Eddy Mitchell et ses Chaussettes noires avec "Tu parles trop", lancent définitivement la mode du rock français et son marché juteux de single 45-tours.



SEPTEMBRE 1955 : MORT DES REBELLES SANS CAUSE

Si désormais les teenagers adoptent le son et le tempo rock - mono, puis stéréo -, ils découvrent aussi l'image - les films en Technicolor et en Panavision - jusqu'à la même époque s'ajoute, à la panoplie musicale, le lokk définitif et sexy du rebelle sans cause - moto Harley-Davidson, blouson de cuir Perfecto, lunettes noires Ray-Ban, T-shirt (copié sur celui des GI, en forme de T), jean 501 à pression et boots à boucle - immortalisé sur les écrans de cinémas par Glenn Ford dans Blackboard Jungle (Graine de violence) de Richard Brooks, par Marlon Brando dans The Wild One (L'Equipée sauvage), de Laszlo Benedek, et aussi par James Dean, dans Rebel Without a Cause (La Fureur de vivre), de Nicolas Ray.
Le 30 septembre 1955, au volant de son Spider cabriolet Porsche, sur la route de Salinas, James Dean se tue. Il a 24 ans et vient juste de terminer Géant, son troisième film. A l'annonce de sa mort, celui que les mauvaises langues de Hollywood appellent "le cendrier humain" passe du statut de movie star à celui de légende. Dean jouait du conga et fréquentait les jazzmen.
Six mois avant lui, le 12 mars 1955, à New York, The Bird, le saxophoniste Charlie Parker, décédait à 34 ans d'un abus d'alcool et d'héroïne et signait le livre d'or 1950's des artistes décimés par la drogue. Beaucoup de musiciens célèbres mais aussi tant d'anonymes, en mal de reconnaissance et de talent, mourront d'overdoses en voulant imiter leurs idoles, persuadés que se sont dans les paradis artificiels et les nuages hallucinogènes que se cache le secret du génie et des inspirations virtuoses. N'est pas Billy Holiday, Chet Baker ou Miles Davies, qui veut...



FEVRIER 1959 : THE DAY THE MUSIC DIED

Pourtant, à l'avènement du rock and roll et des années 60, alors que son avenir semble précaire et menacé par ses censeurs, c'est la mort accidentelle et spéctaculaire de trois jeune rock stars, à l'aube de leur carrière, qui va émouvoir et réveiller une Amérique encore emmitouflée dans ses réticences.
Le 3 février 1959, à 0h50, surpris dans une tempête de neige, le petit avion Beechcraft Bonanza qui transporte Ritchie Valens, 17 ans ("La Bamba"), Buddy Holly, 22 ans ("Peggy Sue") et The Big Bopper, alias J. P. Richarson, 29 ans ("Chantilly Lace") s'écrase avec son pilote, Roger Peterson, à Clear Lake dans l'Iowa. Le lendemain, une journaliste écrira en gros titre : "Le jour où la musique est morte." Un confrère reprendra pour son quotidien l'édito en y changeant le sens : "Le jour où l'on a tué la musique." Sans le prévoir, il jette de l'huile sur le feu et la suspicion chez les fans choqués par les disparitions tragiques : l'avion s'est-il scratché à cause du mauvais temps ou quelqu'un a-t-il volontairement saboté l'appareil pour supprimer ces idoles. Désormais, la jeunesse rebelle , n'a plus besoin de cause pour se révolter. Le rock and roll est son étendard, et la guitare Fender Stratocaster, "une machine à flinguer les cols blancs!".



1954 - 2004 : HAPPY BIRTHDAY ROCK AND ROLL !

Opérant à chaque décénie, souvent violente et protéiforme, un phénomène de génération contestataire, face à l'ordre établi et au monde des adultes, le rock and roll, dès la fin des années 50, devient une culture à part entière, un phénomène de masse, foisonnant, clinquant, innovant - très vite récupéré, copié, vampirisé, exploité, samplé, détourné - par l'industrie du show-business. Tout en suivant le cours de l'histoire et de ses évènements, le rock and roll crée et invente au fur et à mesure sa propre mythologie, avec sa cohorte d'idoles et de martyrs, de tabloïds, de succès, de disque de platine, de Music Awards, de scandales, de drames et d'impostures, mais demeure incontournable et référentiel, grâce à ses propres codes, artistiques, idéologiques, esthétiques et technologiques.
Si aujourd'hui le rock c'est assagi et fête son cinquantenaire, il est passé par moult phases, englobant tant de genres et d'écoles : blues, folk, country, soul, pop, funk, disco, punk, hard, reggae, Heavy Metal, grunge, rap, Dance, techno, R'n'B... qu'on a du mal parfois à le situer, si ce n'est dans son paradoxe, celui même qui continue à assurer sa survie - à la fois l'antithèse de ce qu'il était au départ : une brèche, une révolte, une attitude, une création ; et de ce qu'il sera toujours : un formatage, un marché, une exploitation. La seule valeur qui perdure, intemporelle et stupéfiante (au sens large du terme) demeure dans la veine même de sa création et de ceux - chanteurs, auteurs, compositeurs, musiciens -, magnifiques et désespérés, qui ont bâti sa légende et gravé dans la cire et dans nos coeurs des mélodies immémorables, des textes ciselés, des refrains dévastateurs, des voix inoubliables... Et parce qu'ils étaient jeunes, purs, fous, impatients, incompris, malades, abandonnés... La mort les a fauchés vite, et sans états d'âme !



Référence : Dictionnaire des Destins brisés du Rock de Bruno de Stabenrath chez Scali








L'AUTEUR

Bruno de Stabenrath
Comédien, mucsicien, auteur-compositeur, chanteur, écrivain, scénariste,
chroniqueur, night-clubber.


Bruno commence se carrière de comédien avec François Truffaut dans L'Argent de poche et tourne une dizaine de films avec Ettore Scola, Pierre Schoenderffer, Claude Zidi. Il chante dans la comédie musicale Emilie Jolie de Philippe Chatel.
Au début des années 80, il collabore au mensuel Guitare Magazine.
Passionné de sports de glisse et de l'histoire du rock and roll, il devient un spécialiste de la Surf Music des années 60 et de la musique californienne. En 1999, il anime un show radio hebdomadaire Kowabunga sur Ouï FM. Il écrit dans de nombreuses revues (Technikart, Jalouse, Figaro Magazine, Gloss, Men's Health, Le Nouvel Observateur...). Bruno a eu un destin brisé aussi.
En 1996, alors qu'il vient de signer un contrat dans une maison de disques avec son groupe JamB4, il est victime d'un très grave accident de voiture qui le laisse tétraplégique. Bruno est l'auteur de deux romans : Calvacade, en 2001, traduit en 15 langues, et Le Châtiment de Narcisse en 2004, parus aux éditions Robert Laffont.

A suivre...

mardi 26 février 2008

mardi 5 février 2008

New ! Bannière !!!

Caille ! Caille ! Caille !

Paysages des Alpes de Haute Provence et Maritimes

(Etats des lieux)





Il neige au lac de Thorenc...


Et même à la maison...







La montagne ça nous gagne !






jeudi 31 janvier 2008

Cesses tes enfantillages !



Ca fait peur, après les enfants "rois" Italiens, voici les enfants "guerriers" Français, j'imagine pas comme ils éduquent leur chien...

C'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace...



Si un type m'avais dit un jour :"On met des animaux sauvages en cage et on les fait fumer", je l'aurais certainement pas pris avec le sourire...

mercredi 30 janvier 2008

Lard Culinaire


La Méditerranée, berceau de sociétés prospères, haut lieu de cultures millénaires et de civilisations agraires, se distingue toujours aujourd’hui par la diversité de ses productions et le raffinement de sa gastronomie…

« Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu risques » est la sentence d’un système de production devenu incontrôlable où vaches folles, dioxine, hormones, listéria, nitrates, pesticides, O.G.M. provoquent une vague d’inquiétude légitime parmi les populations.


Nos choix et nos comportements alimentaires sont fortement guidés par la dimension symbolique, imaginaire, magique… que nous attribuons à nos aliments et cette perspective est essentiellement l'objet de l'art culinaire.

vendredi 25 janvier 2008

Ah bon ?











lundi 21 janvier 2008

Augmentation Salariale...


Le soussigné, Mr PÉNIS, demande une augmentation de salaire pour les raisons suivantes :


1. J'effectue un travail physique.
2. Je travaille à de grandes profondeurs.
3. J'effectue un travail de tête.
4. Je ne bénéficie pas d un repos hebdomadaire ni des jours fériés.
5. Je travaille dans un local fortement humide.
6. Je ne suis pas payé pour les heures supplémentaires ni pour le travail de nuit.
7. Je travaille dans un local obscur non ventilé.
8. Je travaille à de hautes températures.
9. Je suis exposé à des maladies contagieuses.

Réponse de l'administration :

Tenant compte des points soulevés dans la demande et des arguments ainsi exposés, l'administration rejette les exigences présentées pour les raisons suivantes :

1.Vous ne travaillez pas pendant huit heures consécutives.
2. Vous dormez sur le lieu de travail après une brève prestation.
3. Vous n'êtes pas à même de toujours satisfaire les exigences présentées par votre chef.
4. Vous n êtes pas toujours fidèle à votre poste de travail, vous vous baladez parfois dans d'autres départements.
5. Vous vous reposez bien avant l'heure.
6. Vous ne prenez pas d'initiatives. Pour que vous travailliez, il faut vous stimuler et exercer des pressions à votre encontre.
7. Vous négligez la propreté et l'ordre du local une fois votre journée de travail terminée.
8. Vous ne respectez pas toujours les règles relatives à l'usage de moyens de protection et d'hygiène sur le lieu de travail.
9. Vous n'attendez pas votre retraite pour vous retirer.
10. Vous n'aimez pas effectuer deux services consécutifs.
11. Vous quittez parfois votre poste de travail alors qu il y a encore du pain sur la planche.
12. Et, comme si ce n'était pas suffisant, vous n'arrêtez pas de rentrer et de sortir de votre bureau avec deux sacs rempli de choses douteuses.

vendredi 18 janvier 2008

jeudi 17 janvier 2008

Earthlings

Un article de VEG-TV.



Earthlings_DVD.jpg
EARTHLINGS est un documentaire long-métrage sur la dépendance absolue de l'humanité à l’égard des animaux (animaux de compagnie, nourriture, habillement, divertissement, et recherche scientifique) mais aussi sur l’irrespect total pour ceux qu’on peut aussi qualifier de « marchandise ». Le film est narré par Joaquin Phoenix (Gladiator) et la musique est celle du célèbre Moby. Avec une étude approfondie sur les magasins d’animaux de compagnie, les usines à chiot, les refuges pour animaux, mais aussi les manufactures de cuir et de fourrure, les industries de hobbies sportifs et les professions médicales et scientifiques, EARTHLINGS utilise la caméra cachée et jamais auparavant on avait vu ces pratiques au jour le jour, d’une des plus grandes industries au monde, qui se fonde entièrement sur l’utilisation d’animaux pour faire du profit. Puissant, instructif et provoquant, EARTHLINGS est de loin le documentaire le plus complet jamais produit sur la relation entre la nature, les animaux et les intérêts économiques des humains. On trouve beaucoup de films défendant cette cause, mais celui-ci dépasse tout. Des Terriens pleurent pour être entendus. Vivement recommandé !

/!\ Attention : Certaines scènes sont + que choquantes /!\




Tout ceci doit finir, s'il vous plaît ne faites pas comme si vous n'aviez rien vu.
Votre conscience peut-elle se permettre vraiment de les laisser continuer sans agir?
Pour tâcher d'empêcher que se répète une seule fois ces atrocités, nous sommes en train de recueillir un minimum de 500 signatures mais plus elles seront et mieux ce sera.

Le film est vraiment dur.

Je vous demande de vous mobiliser,
si ce que tu as vu t'as bouleversé comme cela m'a bouleversé, je te prie de signer et d'envoyer le mail à tes contacts.

QUAND LA LISTE AURA 500 SIGNATURES s'il vous plaît ENVOYEZ-LA À:

PETA2@peta.org

Merci de tout coeur



Pour signer la pétition, notez vos nom, prénom et adresse en commentaire, je compléterai le mail et les commentaires ne seront pas visibles. Pour pouvoir faire passer le mail par vos propres moyens, voici un lien :

signez, copier/coller le mail et l'envoyer

PFIESTERIA



Micro-organisme 1000 fois plus puissant que le cyanure. Il s'est developpés dans des millions de litres d'excréments de porcs. Ils ont ensuite été deversés dans les rivières lacs et océans, transformant leur écosystème en latrines débordantes.

La situation est très alarmante !
Elle menace la vie marine et humaine.
Cet organisme a tué plus d'un milliard de poissons, le plus grand nombre jamais enregistré dans le Sud-Est. Et l'épidemie s'étend.


Des trace de Pfiesteria ont été découvertes de Long Island aux côtes de la Floride à plus de 1500 km de là.

En fait, cette contamination par les eaux représente l'une des pires épidemies provoquées par un micro-organisme virulent dans toute l'histoire des Etats-Unis.

Il représente un danger biologique de niveau 3 :
le virus Ebola est de niveau 4
le Sida est de niveau 2

Cette mutation d'un microbe est le résultat directe de notre consommation massive d'animaux, surtout de porcs.



Lorsque les porcheries engraissent des millions de porcs, les graines rentrent d'un côté et les éscrements ressortent de l'autre. Ces excréments se retrouve dans les océans et dans nos sources d'eau, contaminant les poissons qui y vivent et ceux qui les mangent."

Les Dauphins



"Chaque hiver, entre octobre et mars, des millions de dauphins sont encerclés et brutalement massacrés dans des petites villes japonaises. Des sondes sous-marines interfèrent avec les ondes des dauphins. Désorientés et pris dans un filet, les dauphins paniquent.
Les pêcheurs entaillent souvent quelques dauphins avec une lance ou un couteau, car les dauphins n'abandonne jamais un membre de leur famille s'il est blessé. Les mères séparées de leurs petits émettent des ondes de detresse, puis ils sont soulevés et emmenés pour être sauvagement tailladés à mort.

Ce sont des animaux inoffensifs et innocent. Ils méritent mieux que cela. Ils gisent à terre mutilés et démunis et se débattent sur un sol en ciment pendant qu'on les découpent à la machette... et qu'on les laisse lentement suffoqués. Ils se convulsent et se tordent de douleur tandis que les écoliers passent sans y préter attention.
Ces images de massacres et ces eaux ensanglantées montrent bien que le Japon n'a aucun respect pour la préservation des océans. Ils autorisent ces méthodes inhumaines, qui violent les lois, conventions et traités internationaux conçus pour éviter la surpopulations des océans et des créatures qui les habitent.

Le dauphins sera vendu dans les magasins et les restaurants, souvent étiquettés comme de la baleine..."

mardi 15 janvier 2008

[...] PUNCH!





G.U.E.R.R.E contre le T.E.R.R.O.R.I.S.M.E : 9/11

Depuis le 11 septembre 2001, une guerre anti-terroriste a éclaté. Apparemment un crime, un mensonge, une farce de mauvais goût. Il ne faut pas être une lumière pour éclaircir la part d'ombre de cette sordide histoire... Les faits sont là :

- Envahir l'Afghanistan pour construire des pieplines à travers la Mer caspienne
- Envahir l'Irak pour prendre le contrôle du pétrôle et établir une base au Moyen-orient, et ainsi les intègrer au Nouvel Ordre Mondial.
- Même histoire pour Chavez* au Vénézuela

Les acteurs : le gouvernement et le système bancaire

"Il n'y a pas de réels ennemis, c'est de la mystification, une façon pour le gouvernement de contrôler les Américains..."

Vidéo de l'interview de Aaron Russo* sur les propos engagés avec Nick Rockefeller* au sujet de cette guerre, du CFR*, du N.O.M.*...


Extrait :

N.R. : "Pourquoi te soucis-tu des gens? Prend soin de ta propre vie! Fais du mieux que tu peux pour toi et pour ta famille! En quoi la vie des autres devrait te toucher? Ce sont juste des serfs, c'est juste le peuple."

A.R. : "Quel est le but dans tout ça? Tu as tout l'argent donc tu as besoin, tu as tout le pouvoir que tu veux. Que veux-tu de plus? Quel est l'objectif?

N.F. : "Que tout le monde est une puce, pour contrôler toute la société. Que les banquiers et les gens de l'élite contrôle le monde."

(Les gens du CFR pensent-ils comme lui? Non, ils pensent qu'ils oeuvrent pour le bien...)

N.K. :"Que penses-tu de l'émancipation des femmes?

A.R. : "Les femmes ont logiquement le droit de travailler, d'avoir la même paye que les hommes, tout comme le droit de vote."

N.K. : "Tu es un idiot!"

A.R. : "Pourquoi je suis un idiot?"

N.K. : "Laisse moi te dire de quoi il s'agit vraiment. C'est nous les Rockefeller qui l'avons organisé. Nous sommes à l'origine de l'émancipation de la femme. Nous qui possédons tout les journaux, les TV et la fondation Rockefeller. Et les deux principales raisons d'avoir fait cela :
1. Avant on ne pouvez taxer que la moitié de la population
2. Maintenant les enfants vont à l'école beaucoup plus tôt, nous pouvons plus facilement les endoctriner et briser le lien familial. Ainsi l'enfant considère l'Etat comme ça propre famille. Ils considèrent l'école et l'autorité comme leur famille."

(N.K. demande a A.R. de les rejoindre dans le CFR. Il lui dit qu'il aura la même puce que eux et ainsi qu'il sera intouchable. ARRESTATION + PUCE SPECIAL = TRANQUILLE "l'un d'entre nous".)

La CIA a fondé Miss MAGAZINE...

N.K. : Pourquoi te bats-tu pour ces gens (le peuple, ndlM)? Quel interêt? Ces gens doivent être mis sous contrôle. La constitution est faite pour une minorité qui peut vivre de cette façon. Et nous pensons que la société doit être dirigée par une élite qui contrôle tout.

A.R. : "Pourquoi tu veux tout contrôler? Qu'est ce que ça t'apporterai? (question posée à plusieurs membre du CFR, beaucoup pense faire le bien et que le socialisme est le meilleur chemin. Mais ceux qui dirigent eux seuls connaissent la vérité. Il semble qu'il y ai une hiérarchie, une compartimentation au sein de l'élite."

Le CFR comptent environs 2000 à 3000 membres.

DIMINUTION DE LA POPULATION MONDIALE

Surpopulation = trop d'hommes dans le monde. Projet = réduire la moitié de la population mondiale.

A.R. : "N.K. discutait des solutions possible au problême que posent les Palestiniens pour les Israëliens. Placer l'Israël en Arizona. Prendre les Israëliens leur donner des millions de $ et construire Israël en Arizona...

!!!

vendredi 11 janvier 2008

On se retrouve après la pub...




"[...] Dans la tête du client, de Gérald Zaltman. Ce professeur d’Harvard, développe toute une théorie sur l’apport des neurosciences au service du marketing. Ces travaux permettent « de définir, de dynamiser et d’harmoniser les forces mémorielles d’un message publicitaire » et sont développés en France par un cabinet conseil : IM.
[...] 95% des activités cognitives du consommateur (notre capacité d’absorber la connaissance) se déroulent sous le seuil de l’inconscience. En somme, 95% de nos actes d’achats sont irrationnels, et bien entendu cette consommation peut devenir rationnelle au prix de techniques hyper sophistiquées du type de l’imagerie cérébrale que les « docteurs Folamour du cerveau » sont seuls à maîtriser.
[...] Ramenées au secteur de la publicité, les techniques cognitives permettraient en amont de mieux cerner le souvenir attributif à la marque (mémoire rétrospective) afin de mieux planifier l’acte d’achat (mémoire prospective).

En somme, ils proposent de concevoir le message publicitaire non pas le plus créatif ou le plus explicatif, mais le plus à même d’être mémorisé et de se transformer en acte d’achat. [...]

[...]Si les sciences cognitives voient juste, si le marketing et la publicité servent de test de masse, si on arrive vraiment à manipuler les cerveaux, si on peut faire acheter n’importe quoi à n’importe qui, imaginez les conséquences lorsque ces techniques aborderont l’univers politique."

Par : Jean Charles Epsy

Je dirait même : Si ces techniques abordent l'univers politique, les consèquenses sont :

- Prise du pouvoir des Républiques par des Chefs d'états douteux
- Stéréotypes, clichés, idées recues banalisées : individus préconçus, tenus dans des groupes sociaux par les publicités médiatiques. Fashion, Racaille, Tektonik, Dreadeux... (*Dans ma tête* bientôt ils n'en formeront plus qu'1 !) en considérant que ces groupes sont eux même divisés en plusieurs petits groupes biensûr... Diviser pour règner!
- Conception et développement de la pensée unique (sans pour autant être d'accord ni avec les autres, ni avec soi-même)
- Réduction des "pauvres", des "assistés", des "marginaux", des "critiques", etc... par les maladies developpées à cet effets (VIH, cancer, angoisse, phobie)
- Concentration d' "élites", de "bourgeois", de "robot-humain", de "modèles", appauvrir les pauvres, enrichir les riches.
- Déstruction des espaces verts (faune-flore), amènagement barbare des espaces vitaux.
- Phobies liées à la nature, hydrophobie (eau), Entomophobie (insectes), Lépidophobie (papillons), Zoophobie (animaux).
- Indifférence face à l'alimentation saine (vitale), indifférence face à la nature, indifférence à la vie sociale... Création de peurs et de maladies...

Bref je finirai par une image que j'approuve parfaitement ! *off* Eteingnez votre TV !

mercredi 9 janvier 2008

Passage... X-)

Petit tour du propriètaire

Dans l'ordre, la machine à laver dans la salle d'eau, le sèche linge dans la ptite pièce derrière la salle d'eau, l'étendoir dans la chambre d'amis...

C'est chiant ça lave pas très vite une machine à laver... Et un sèche-linge sa n'essore pas vite non plus...

Voici un tableau qui est dans notre chambre, fais part ma belle soeur, ensuite l'endroit d'où je vous écrit en ce moment : La pièce jaune.